J’ai failli te dire je t’aime de Frederico Moccia

 

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Niki va bientôt passer son bac. Avec ses amies, elle est bien décidée à profiter de sa jeunesse et de sa liberté. Défilés de mode, concours de surf, soirées, courses de voitures improvisées…

Tous les moyens sont bons pour s’amuser à Rome, cet été-là. Alex, lui, broie du noir. À trente-sept ans, ce publicitaire talentueux vient de se faire plaquer par sa fiancée, juste après l’avoir demandée en mariage !

En plus, voilà que son patron le met en concurrence avec un jeune collègue ambitieux sur une nouvelle campagne publicitaire, l’obligeant à déployer des trésors d’ingéniosité pour ne pas être dépassé. Et tout cela ne serait rien si, ce matin-là, il n’avait pas croisé la route de Niki…

Ou plutôt si tous les deux ne s’étaient pas rentrés dedans. Elle est jolie, intelligente et drôle, c’est le coup de foudre réciproque. Juste un petit détail : elle a dix-sept ans. Vingt ans de moins qu’Alex. Que peuvent bien avoir à faire ensemble deux êtres issus de planètes si différentes ?

Leur idylle naissante laisse leur entourage sceptique. Si les amis d’Alex l’envient, ils accordent peu de crédit au sérieux de son amourette. Et lui-même semble bien perdu le jour où son ex-fiancée réapparaît…

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Dans son ensemble, « J’ai failli te dire je t’aime » est un assez bon livre qui ne m’a cependant pas tenu véritablement en haleine. C’est une lecture plaisante, un livre qui se laisse lire sans vraiment être exceptionnel. Je ne sais absolument pas ce qui m’a attiré dans ce livre précis. Son thème principal est la romance, chose qui dans un livre me rebute énormément (C’est toujours trop nian-nian, trop dégoulinant de sentiments. Bref, ce n’est pas ma tasse de thé). Le résumé ne casse pas des briques. Et ne parlons pas de la couverture qui est quand même assez classique… Non, franchement je ne sais pas ce qu’il s’est passé dans ma petite caboche au moment de l’achat ! J’ai eu une sorte de pulsion, d’envie inexplicable.

Comme je m’y attendais, je n’ai pas été convaincue par le début du livre qui amorce ce qu’on doute être le début d’une belle histoire d’amour à venir. J’ai lu ce livre à l’âge de 15 -16 ans, c’est un peu jeune pour comprendre ce que c’est réellement l’amour et tout ce qu’il implique. Sûrement, aurais-je d’autant plus apprécié cet ouvrage à l’heure d’aujourd’hui. Ou même l’année dernière alors que je passais, comme le personnage principal, mon bac. J’ai entamé ma lecture avec un mauvais état d’esprit, avec la certitude que ce livre n’allait pas me plaire. De ce fait, je n’étais pas dans les meilleures conditions pour apprécier ma lecture convenablement. La forme inattendue du roman ainsi que l’écriture de l’auteur ne m’ont pas enlevés ce sentiment désagréable de perdre mon temps. Au contraire ils l’ont accentué.

Tout d’abord, il y a l’écriture de l’auteur qui m’a un peu dérangée. Je ne sais pas exactement ce qui m’a déplut dans sa manière d’écrire et de décrire les choses mais je n’arrivais pas à m’accrocher au monde qu’il nous dévoilait. Je n’arrivais pas à me situer ni dans le temps, ni dans l’espace. Certains passages étaient plats, sans grand intérêt à mes yeux. Le deuxième élément qui a nuit à ma lecture c’est certainement la forme inattendue du roman. Nous naviguons entre plusieurs points de vue, rencontrons plusieurs personnages à la fois. Si d’ordre général j’adore avoir le point de vue de chaque personnages, ici je m’y suis complètement perdue. Je ne savais plus qui était qui, qui faisait quoi, qui était où… il me fallait toujours quelques minutes pour recoller les morceaux et me dire « Ah d’accord, c’est untel qui nous parle.Ok! »

Cependant, je me suis vite rendue compte que ce n’était qu’une histoire « d’acclimatation ». A un moment donné j’ai lâché cette réserve et cet priori qui me gâchaient ma lecture. J’ai  commencé à apprécié cette petite histoire, simple, sans grande action mais tellement touchante et réaliste qui ne nous laisse finalement pas insensibles. J’ai compris où voulait nous emmener l’auteur, qui marque sa plume d’une légèreté feinte.Ce livre parle tout simplement d’amour. L’amour qui n’a pas d’âge. L’amour qui galvanise et détruit. L’amour qui construit nos vies. L’amour qui nous élèvent et nous piétinent. L’auteur nous parle de l’amour avec un grand A puis de l’amour né de l’amitié.Cette amitié là qui ne se brise jamais et de cet amour là avec un grand A – dont un seul mot ne peut le décrire – . Alors même si le livre traînait en longueur, que les débuts étaient difficile pour moi, je reste quand même convaincue qu’il doit être connu.

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Orange = Moyen

 

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